L’emploi dans l’éolien offshore
L’éolien offshore dans l’ouest français semble favorable pour la création de 7000 emplois. En effet, le grand chantier d’éoliennes marines vont avoir des retombées positives sur toute la région concernée tant au niveau de l’emploi que dans le dynamisme des communes avoisinantes.
Dynamisme de la région par l’éolien
La création d’entreprises dans le domaine de l’éolien marin va permettre la création 10 000 emplois industriels directs et indirects, un investissement très important de l’ordre de 7 milliards d’euros et bien sur la production de 2000MW ceci rien que pour les régions des pays de la Loire, Bretagne, Basse et Haute Normandie. Il en découlera bien sur l’installation de nouvelles usines de fabrication de turbines, pales et mâts à Saint-Nazaire, Brest, Cherbourg et le Havre. L’économie régionale sera ensuite stimulée par la création de centres d’exploitation qui seront situés à la Turballe, Saint-Brieuc, Ouistreham et Fecamp pour faire travailler 150 employés par port. Bien sur les recrutements favoriseront les demandeurs régionaux et les employeurs seront aussi pour la plupart du temps des entreprises de la région.
Démarrage de l’emploi dans les entreprises éoliennes
Selon les responsables des projets, les recrutements seront effectués à partir de 2013 en même temps que la construction des usines. Même les plans de formation ont été conçus pour les salariés car la vocation première de ces industries serait la conquête des marchés étrangers. Bien sur et pour faire face à la concurrence accrue des anglais et des allemands, Alstom prévoit l’ouverture d’un centre de recherche dans le domaine des énergies marines qui favorisera la création de 200 offres d’emploi supplémentaire.
Les retombées régionales des entreprises éoliennes
Les entreprises éoliennes dans l’ouest français vont permettre non seulement une création importante d’emplois dans la région mais seront une source de revenu en fonctionnement puisqu’une taxe spéciale de 24 millions d’euros annuels pour les quatre parcs sera versée pour moitié aux communes littorales les plus touchées, le reste se départageant entre le développement durable d’activités maritimes et le comité national des pêches.
D’après Ouestfrance