Les mentalités au sein de l’entreprise

Quelques soient les lois pour tenter un tant soit peu de diminuer les disparités hommes/femmes dans l’entreprise, il s’avère que les clichés restent les mêmes et de ce fait le mâle serait apprécié en tant que leader alors que la femme restera l’éternelle assistante.

 

L’attribution des compétences dans les entreprises françaises

Selon une enquête réalisée par l’association IMS-entreprendre sur un échantillon de 9 entreprises choisies parmi les 200 qu’elle regroupe, il s’avère que sur les 1200 employés interviewés l’attribution de compétences partagée touche 44% des entrepreneurs de sexe masculin et 55% de sexe féminin. Les dirigeants qui optent pour la différence dans les qualifications masculines et féminines pensent majoritairement à savoir au deux tiers qu’elle proviendrait de causes environnementales alors que 30%estiment que ce serait une affaire de gènes.

Stéréotype de l’image dégradante de la femme

L’image de la femme qui ne peut qu’être qu’assistante de l’homme fait que pour la gent masculine, toute personne de sexe féminin et quelques soient ses compétences ne pourrait jamais accéder au poste de leader tant et si bien que sa candidature serait éliminée dès sn arrivée au département des ressources humaines. Pourtant le manager idéal  devrait être impartial et ne juger que sur les qualités professionnelles sans discrimination aucune et surtout de sexe. L’homme en tant que mâle quant à lui ne verra la bonne image du sexe opposé que si elle reste son éternelle assistante et donc inférieure à lui. Quant à la femme, elle aurait dit-on non seulement une mauvaise image d’elle-même mais une image toute aussi négative de ses collègues masculins.

Conséquences de la responsabilisation des femmes

Dans l’esprit des femmes, subsiste encore l’idée que les hommes sont plus avantagés qu’elles dans le monde du travail. En effet et selon les statistiques, il s’avère que pour 57% des femmes, les offres d’emploi pour des postes à responsabilité sont dédiés aux hommes et donc que ces hommes en question seront nettement mieux rémunérés qu’elles. De plus près de 40% d’entres elles pensent que les promotions internes ne concernent que la gent masculine. Par contre et ce dans la mentalité de tous et pour près de 50% des hommes et 50% des femmes, les personnes de sexe féminin tendraient à se masculiniser dès qu’elles obtiennent un poste à responsabilités ce qui engendrerait une plus grande dureté de la femme devenant plus attachée à sa carrière qu’à son foyer.

D’après le parisien